PARTIE 1 : CONCEPT & DESSIN
Chers moldus, chers sorciers,
Après DC Comics, Tsume s’attaque à un nouveau défi, celui de proposer des statues de collection issues d’un nouvel univers aujourd’hui légendaire, celui du célèbre sorcier Harry Potter !
Pourquoi le choix de cette licence ? Parce que c’est l’élu, mais pas que ! En effet, si le Choixpeau magique nous l’a vivement suggéré, le sentiment de nostalgie suscité par cette œuvre littéraire et cinématographique avec laquelle beaucoup ont grandi, nous a poussé à relever ce défi. Celui de proposer des statues de haute qualité pour tous les fans, moldus et apprentis sorciers, qui attendent de nouveaux produits à la hauteur de leurs exigences ! Et c’est non pas en un coup de baguette magique, mais avec beaucoup de travail et d’investissement que nous comptons y parvenir !
Harry Potter, ce n’est pas sorcier, nous diriez-vous ? Détrompez-vous ! Découvrez dans cet article et le suivant, comment nos artistes sont parvenus à faire opérer la magie à chaque étape de création.
LES CONCEPTS 2D ET 3D
Pourquoi vous apprendre à mettre la gloire en bouteille, à distiller la grandeur ou à enfermer la mort dans un flacon, lorsqu’on peut vous enseigner comment transformer un dessin en portrait, sans Polynectar ni potion ?
A défaut de posséder un Retourneur de Temps, nous avons extirpé quelques souvenirs de la tête de nos dessinateurs pour les plonger dans la Pensine Tsume. Voici les secrets qu’ils ont à vous révéler.
Leçon numéro 1 : « Le réalisme ou comment métamorphoser un dessin en portrait », selon le Livre de Métamorphose Avancée, recommandé par Miss McGonagall.
Contrairement aux statues à l’effigie de personnages tirés de manga ou de jeux vidéo, cette collection s’inspire directement des films cultes de la saga et ainsi des visages et performances des acteurs ! Par conséquent, il est nécessaire d’adapter sa façon de travailler au modèle et résultat escompté.
Et comme tout à chacun, même Malefoy, le dessin réaliste a ses bons et ses mauvais côtés.
Le bon côté est qu'il est plus facile d'imiter les références à la fois en 2D et en 3D, puisqu’elles sont directement tirées de photographies ou d'images fixes des films. La complexité, elle, réside dans le fait que lorsque vous souhaitez faire preuve de créativité concernant l'expression du visage et du corps du personnage, vous ne trouvez plus nécessairement ces références dans les images disponibles. Aussi, afin d’obtenir le résultat désiré, il faut savoir faire preuve d'imagination pour combiner les perspectives d'autres films afin de les adapter à la scène que vous voulez produire et montrer.
Prenons l’exemple de celui qui a survécu, au coup de crayon affûté de notre dessinateur et à la plume acérée de Rita Skeeter !
L'expression pleine de hargne de Harry lors de ce combat intense et tant redouté, est issue d'une scène d'un film précédent et non de la dernière partie. Elle fut ainsi adaptée au personnage inspiré du dernier film pour être retranscrite de façon naturelle. En effet, il faut garder à l'esprit que les acteurs ont grandi en même temps que les personnages de la saga et ont donc vieilli et évolué physiquement et personnellement au fur et à mesure des films. Il faut donc trouver le bon équilibre dans les mimiques et expressions du personnage, en analysant les scènes des différents films puis en faisant appel à notre imagination. Cette difficulté ne se rencontre pas lorsqu’il s‘agit de représenter des personnages tirés d’anime et manga, car il est beaucoup plus simple d’effectuer ces changements voire de les inventer, les éléments présentés étant plus synthétisés.
Si l’on prend en revanche l’exemple du mage noir responsable de sa cicatrice, le travail est encore différent.
Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom peut en effet sembler plus facile à retranscrire car son apparence et ses traits plus fantastiques sont plus proches du travail effectué pour représenter des personnages imaginaires tels que ceux des mangas, animes ou comics. Pour dépeindre l’ancien élève de Serpentard, notre dessinateur a utilisé une technique plus proche du dessin au crayon afin de procurer plus d'ombres et de nuances aux volumes. Cette technique est en revanche différente de celle utilisée pour réaliser les concepts d'anime, qui sont généralement coloriés de façon plus approximative.
Enfin, les poses ou expressions choisies pour représenter les personnages ne sont pas précisément identiques à celles observées durant la scène du film. Comme pour nos autres réalisations dans la gamme Ikigai, il s’agit d’interprétations visant à mettre en valeur le personnage, sa personnalité, ses forces et ses spécificités, et ce, dans une pose très dynamique.
Ceci nous permet ainsi de conserver le style et la logique des autres statues précédemment réalisées dans la gamme Ikigai, afin d’assurer la cohérence et l’homogénéité de chaque collection. Ainsi, quelles que soient les pièces qui composent la vôtre, vous pourrez continuer d’exposer vos héros préférés côte à côte, qu’ils soient tirés d’une même licence, ou à l’inverse, d’univers différents et variés. Vous l’aurez compris, pour créer une collection qui vous plait et vous ressemble, oubliez la recette du Polynectar et suivez celle de vos envies !
Découvrez les prochaines étapes de réalisation des statues Harry Potter by Tsume et les expériences de nos artistes apprentis sorciers dans un nouvel article de la Gazette du Sorcier ! Bien entendu, l’usage de Veritaserum en faible quantité a été approuvé par le Ministère de La Magie.
A très bientôt pour le Revelio ! Evanesssco ! (Ainsssi, vous lisez le Fourchelang...)
La Maison Tsume
NB : Evitez l’Allée des Embrumes et utilisez l’onglet Blog de notre site comme Portoloin pour transplaner vers le lieu de notre prochaine rencontre…
